Les premiers pas de Mobilis

Devant l’ampleur des missions, la diversité du territoire et de ses acteurs, comment et par quoi s’agit-il de commencer ?
Commencer à mettre en œuvre le projet de Mobilis, c’est d’abord faire face aux désirs, aux rêves et à toutes les projections qui ont présidé à la naissance du pôle. Il est important d’accueillir et de se mettre à l’écoute des personnes qui ont participé à la préfiguration du projet, des partenaires financeurs qui définissent les politiques pour le livre, des professionnels à qui cet outil est dédié.

Cette posture nécessaire nous place en tension entre un champ des possibles immense et des moyens contraints – puisque ce sont ceux du commencement...

Comment compléteriez-vous la phrase Commencer c’est... pour définir les débuts de Mobilis ?
Commencer c’est trembler, douter, rêver, explorer, expérimenter, tâtonner, prendre le risque de la dispersion... et tout cela à la fois ! Commencer, c’est aussi joyeux et très émouvant, parce qu’entreprendre demande de l’appétence et que la progression procure du plaisir (...).
Commencer demande avant tout de ne pas craindre de se tromper. Nous ferons des erreurs de jeunesse, et notre existence sera ponctuée d’élans, d’ajustements, de projets, de bilans... autant de phases qui participeront de la construction de notre culture commune.