Les "champs de la culture en dialogue" du 21 septembre 2024 - webinaire organisé par Normandie Livre et Lecture (N2L), Livre et lecture en Bretagne ainsi que Mobilis, dans le cadre du programme "Écologie du livre en régions ".
Depuis 2023, un groupe interrégional qui regroupe les différentes structures du livre et de la lecture, l'Association pour l'écologie du livre et la FILL (Fédération interrégionale du livre et de la lecture) s'est mis en place pour réfléchir ensemble aux questions d'écologie du livre et de la lecture.
De cette réflexion, un programme collectif de webinaires et de formations est né. Ce travail commun permet de répondre aux interrogations des professionnels et professionnelles du livre sur leurs territoires… Cette initiative a démarré en janvier 2024, ce webinaire en est le vingtième !
C’est donc autour de ce mot "coopération" que Livre et lecture en Bretagne (LLB), Normandie Livre et Lecture (N2L) et Mobilis (Pays de la Loire) ont souhaité travailler. Les trois structures viennent questionner les croisements entre les champs culturels – tout en dessinant le paysage de ces trois régions en la matière.
Les enjeux d’écologie recouvrent ceux d’échelle avec la nécessité de faire des focus, de dézoomer, de passer d’engagements individuels à collectifs - au regard des problématiques systémiques. L’idée est de se délester de la logique de silo en prenant davantage en considération les interdépendances existantes. Cet objectif vise à travailler sur l’interprofession au sein du secteur du livre et de la lecture et d’aller plus loin en venant entremêler les différents champs de la culture.
Il n’existe pas un unique endroit d’action pour changer de modèle mais bien une multitude.
Ces regards croisés ont vocation à s’intéresser au dialogue que peuvent entretenir les différents secteurs culturels autour de l'écologie et les logiques de coopération inhérentes – toujours dans l’idée d’inspirer et de nourrir. Tous ces questionnements ont pour but d’amplifier et d’accélérer la métamorphose du secteur culturel en alimentant une réflexion globale et commune.
Plusieurs acteur.ices émanant de Normandie, Bretagne et Pays de la Loire viennent partager leurs diverses expériences, leurs réflexions actuelles et leurs évolutions respectives.
Zoom sur...
Normandie Livre et Lecture (N2L)
Marion Cazy de N2L est à l’initiative d’un groupe de travail - créé en 2023 qui réunit les différentes têtes de réseau de Normandie afin de débuter un projet intersectoriel et leur permettre d'échanger sur les questions d'écologie : partages d'expériences, d'actions, d’initiatives...
Depuis, la DRAC Normandie (Direction Régionale des Affaires Culturelles) a eu connaissance du groupe et a initié une rencontre avec l'ADEME, la DREAL (Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement) pour échanger sur des actions communes et identifier les endroits où il serait possible de coopérer afin d'aller plus loin dans la réflexion.
Une des premières personnes à avoir échangé sur le sujet a été la conseillère musique, danse et international pour l'ODIA Normandie. Objectif 13 a été l'un des premiers projets qui a permis de découvrir le travail réalisé sur la question de l'écologie dans le spectacle vivant. Un projet qui traverse les différents mondes de la culture et qui peut résonner sur des questionnements propres au livre et à la lecture.
Objectif 13
Martin Roch est conseiller artistique de Spectacle vivant en Bretagne qui a fait partie du projet de recherche-action interrégional du spectacle vivant Objectif 13.
Le projet présenté émane de la structure « La Collaborative » qui est une association regroupant cinq agences régionales du spectacle vivant qui travaillent directement au soutien des équipes artistiques : soutien à la mobilité, ressources, coopérations, partage de vision commune...
Le point de départ du projet Objectif 13 se situe au festival d’Avignon en juillet 2019 où les températures ont atteint 48° la semaine suivante dans l’Hérault. Au travers de cette canicule, l'impact du changement climatique sur les activités du secteur culturel est bel et bien visible. Cette conséquence directe des activités humaines pose les premiers jalons d’une réflexion auprès des acteur.ices qui s’emparent de ce sujet sous le prisme du collectif.
Un an plus tard - au début de la crise sanitaire, les cinq agences s’associent avec l’ONDA (Office Nationale de Diffusion Artistique) pour penser des temps de travail, d’échanges agrémentés de lectures et de pensées philosophiques. A partir de ce moment, les structures s’associent à David Irle du Bureau des Acclimatations (BDZA) et éco-conseiller dans le secteur culturel. Un accompagnement des équipes se met en place sur la base d’un cycle de formation centré sur les transitions climatiques, les enjeux/risques inhérents et spécifiques au spectacle vivant.
A partir de ce cycle, Objectif 13 – en référence à l'objectif 13 de développement durable de l’ONU : « prendre d’urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions » est né. A la suite, l’ANACT (Agence Nationale pour l'amélioration des Conditions de Travail) lance un appel à projet pour accompagner les transitions économiques et sociales : explorer les liens entre compétences, dialogues sociales et transitions écologiques en lançant un périmètre de recherche-action. Un groupe d'étude constitué de 11 éco-conseiller.ères, 5 agences culturelles et 40 structures du spectacle vivant se forme autour de plusieurs axes : amélioration du diagnostic sectoriel, formation des structures culturelles, réalisation d'une cartographie territoriale des réseaux et des ressources existantes, anticipation des conditions de travail sur les enjeux santé et bien-être, mise en place d’outils pour faire évoluer les pratiques, expérimentations et capitalisation du projet mené.
Au regard de ces axes, une recherche autour des co-dépendances, du facteur humain et du changement s'enclenche. De cette réflexion émerge la création de ressources, de guides et d'outils :
- Un chantier expérimental sur la prévention du risque professionnel et transition écologique par le biais d'un groupe de travail qui réunit structures culturelles et technicien.nes,
- Deux ateliers déployés dans les agences sur le numérique responsable sous le prisme de la baisse de l'impact matériel et comme levier de bien-être au travail,
- Réflexion sur la question de la redirection du secteur du spectacle vivant via la question du renoncement : à quoi va-t-on renoncer pour pouvoir poursuivre l’activité ? (voir "Politiser le renoncement", Alexandre Monnin, Divergences édition)
Objectif 13 est un projet structurant interrégional et intersectoriel qui a été un tournant dans la manière de travailler entre les diverses agences participantes en soulignant la nécessité du collectif et la pensée en synergie. Toutefois, comme tout projet qui vient se rajouter au temps de travail déjà conséquent des équipes, certaines d'entre elles se sont perdues en chemin et d'autres se sont ralliées au fur et à mesure.
La question qui reste en suspens est la suivante : Quid de la continuité quand le projet s’arrête ? Comment le travail mené infuse dans les pratiques des agences ? Comment l'essaimage se poursuit plus largement afin de consolider les idées, les compétences, les capacités d’agir et de penser l’avenir collectivement.
Questions : Lien de CooProg avec le spectacle vivant ? C'est un outil de co-programmation pluri-sectoriel. Si on imagine une transposition dans le secteur du livre et de la lecture, l'intérêt se situe à l'endroit des rencontres en librairie, des manifestations littéraires et des bibliothèques sachant que quelques-unes d'entre elles se sont déjà saisies de cet outil.
Par ailleurs, le spectacle vivant est pionnier sur les questions de mobilités. Les autres secteurs culturels peuvent largement s'inspirer de la démarche, d'outils utilisables pour avancer collectivement sans jamais recommencer à zéro puisque de nombreuses initiatives existent mais ne cohabitent pas toujours. C'est pourquoi, le développement des coopérations territoriales est indispensables pour imaginer les possibles.
Le Collectif des festivals
Maxime Molé est coordinateur du projet accompagnement des réseaux de la culture en Bretagne à la transition écologique et sociale au Collectif des festivals.
Le Collectif des festivals est une association régionale en Bretagne qui rassemble une trentaine de festivals adhérents autour des questions écologiques et sociales. Plusieurs logiques s'implantent : conseil, expérimentation, formation, transmission et création de ressources partageables. La mission de Maxime est singulière, elle a été confiée en 2023 par la région et la DRAC Bretagne pour une durée de trois années. Une première étape de prospective a été réalisée afin que la mission puisse se construire au fil de l'eau et des besoins des professionnel.les.
Mission qui a muté comme « accompagnement des réseaux de la culture en Bretagne à la transition écologique ». Stratégiquement, l’enjeu a été de coopérer avec les têtes de réseaux de la culture en Bretagne dans le but d'affiner la connaissance du panorama régional au sein du Collectif des festivals. Cette mission a une durée de trois années, il s'agit de dix-neuf réseaux qui travaillent ensemble, ce qui permet une ouverture qui oscille entre 1500 et 2000 acteur.ices culturel.les.
La mission se découpe en grands axes :
- Fixer un cadre commun de coopération et de collaboration par la conscientisation, la sensibilisation et la formation, « Sans conscientisation, on ne peut pas sensibiliser et sans sensibilisation, on ne peut pas former »
- Un état des lieux sur les sujets de transition qui est devenu un travail de réseau avec l'organisation d’un temps fort annuel ayant pour but d'éviter que les structures culturelles travaillent en silo et puissent favoriser leur interconnaissance. Cette journée est une première pierre à l’édifice dans la construction d'un travail commun.
- Impulser une dynamique d’autonomie des réseaux et valoriser les projets inspirants en permettant la montée en compétence collective et pas seulement individuelle en créant notamment des espaces de partage de pairs à pairs (visites in situ).
- Projet Redirections : groupe de travail composé de structures de musiques actuelles qui s'articule autour d'une méthodologie spécifique afin que ce collectif puisse avoir des outils pour rediriger ses projets en redéfinissant les modèles. In fine, l'idée est que cette méthodologie soit partagée et valorisée dans d’autres secteurs. Plusieurs sujets et thématiques transversales d'un lieu culturel à l'autre sont travaillés. Toute cette démarche émane d'une étude sociologique visant à faire parler le terrain et vise à faire monter en compétences les différents métiers composites.
L'idée de la mission est aussi de faire rayonner la mission pour qu'elle s'inspire et inspire d'autres secteurs; institutions, scientifiques et économie sociale et solidaire. Toujours dans la même veine de l'inspiration de terrain transmissive, la mission chez Mobilis s'articule similairement.
Mobilis
Mélanie Cronier, chargée de mission écologie du livre et de la lecture à Mobilis, pôle de coopération des professionnel.les du livre et de la lecture en Pays de la Loire.
Depuis 2016, Mobilis travaille sur les questions d'écologie dans le livre et la lecture. A l'arrivée de cette mission dans la structure, un état des lieux qui marque le point de départ de cette réflexion a été réalisé auprès des professionnel.les. Une réelle immersion de terrain afin de ne pas être hors-sol et de comprendre les enjeux qui traversent cette filière. Des thématiques comme clefs de recherche et d'actions ont alors été posées : les vies du livre, le livre d’occasion, les coopérations, la bibliodiversité, le numérique et l’écoconception. A l’issue de cette première temporalité et pour favoriser l'interprofession, un groupe de travail interprofessionnel est né. Il est formé de plusieurs métiers composites et interdépendants : librairies, maisons d'édition, bibliothèques et indépendant.es du livre et de la lecture.
Une mission d’abord qui passe par un travail régional, de mise en réseau, de création d’un espace de recherche-action, d’observatoire d’initiatives pour créer un commun, de documentation par la production de contenus et d’outils avec et pour les professionnel.les du livre et de la lecture. La mise en réseau est complètement inhérente et s'articule en symbiose : elle est interrégionale et intersectorielle (culture et économie sociale et solidaire).
Parce que l’écologie est une science des liens, il paraît pertinent d’étudier tous les liens existants sur un territoire, dans un secteur ou dans une filière. Une étude et une observation qui se fait donc à plusieurs échelles et avec une multiplicité de structures ou d’individus.
La synergie
La coopération qui se matérialise entre les différentes têtes de réseau culturelles regroupées en pôles sur la région Pays de la Loire : Arts visuels, musique, cinéma, spectacle vivant et patrimoine. Une histoire de liens tissés au fil du temps et notamment, via le dispositif TRAJET à destination de porteur.euses de projets culturels où la question d'écologie est insufflée à plusieurs niveaux et de manière transversale. Un dispositif qui se voit parsemé de moments forts où se sont mêlés des récits et des regards différents sur un même sujet.
Point(s) de jonction
La question en filigrane : comment une mission liée à l’écologie peut s’implanter, s’inspirer d’un et dans un réseau tout en inspirant et en s'inspirant d’autres secteurs culturels sur un même territoire ?
Pour faire miroir sur les deux témoignages précédents et sur l’expérience de N2L :
- Créer une forme d’observation des pratiques écologiques marquantes en s’inspirant des autres secteurs : comment tel ou tel secteur appréhende la question écologique au niveau régional ?
- Le croisement des regards en créant des espaces de discussions, en provoquant la rencontre et en ouvrant à d’autres perspectives
- Journée organisée par l’interpôle (nom que l’on donne à la dynamique intersectorielle des Pays de la Loire) aux Ecossolies en octobre 2023 avec des professionnel.les multisectoriel.les qui se sont regroupé.es autour de deux thématiques : le réemploi et les coopérations, deux thématiques aussi complémentaires que distinctes. Un temps de récit : association de cinéma, maisons d’édition, ressourcerie culturelle, festival de musique, REEVE…
- Des questions plus ou moins mises sur le devant de la scène par les différentes institutions : Centre National de la Musique, Centre National du Cinéma, Centre National du Livre
- Autre lieu de jonction intersectorielle : les coopératives d’activités et d’emploi comme Oz qui regroupe des professionnel.les de la culture
Transposition
L’idée est d’observer les différents liens, les points communs de façon à ne pas toujours repartir de zéro mais de s’inspirer de l’existant afin de créer un commun et de prendre de la hauteur par rapport à sa propre filière pour évaluer des transpositions potentielles. Au regard des trois écologies - Association pour l’écologie du livre ; sociale, matérielle et symbolique, ces piliers sont duplicables dans le cinéma, les arts visuels, le spectacle vivant ou encore la musique.
Ces trois écologies permettent de déployer un certain nombre de thématiques communes :
L'écologie dite matérielle :
- Les manifestations qu’elles soient littéraires, musicales ou du spectacle travaillent – pour certaines déjà sur des sujets liés à l’écoresponsabilité via l’éco-labellisation comme avec le REEVE pour les Pays de la Loire qui pousse les structures culturelles organisatrices d’évènements quels qu’ils soient à s’interroger sur ces propres pratiques et à leur tour alimenter une réflexion commune : mobilité, alimentation, énergie, déchets et réemploi.
- Via le réemploi : comment mettre les acteur.ices en lien ? La Ressourcerie Culturelle travaille sur la mutualisation et la location de matériaux, de structures, de scénographies et de matériel évènementiel. Des outils sont à imaginer avec et pour les professionnel.les.
- Création d’un annuaire qui regroupe toutes les ressourceries ou matériauthèques à destination des artistes ou créateur.ices
L’écologie dite sociale :
- Maillage territorial : se mettre en lien aussi avec les autres structures territoriales et partager les méthodes de travail
- Nouveaux modèles de gouvernance et nouveaux modèles économiques
- Droits culturels : accès à la Culture
- Formes de coopérations et de mutualisations existantes
L’écologie dite symbolique :
- Importance des imaginaires créés par le secteur culturel, comment appréhender demain avec de nouveaux récits ? Parce que « Nous avons trop longtemps négligé collectivement le côté émotionnel, le côté sensible, celui qui nous fait nous émerveiller afin de réenchanter nos imaginaires pour nous engager dans une transformation de fonds » (« Rendre le spectacle durable pour rester vivant », La Scène)
- Imaginaires directement impactés par la concentration et la financiarisation que connaissent les mondes culturels quels qu’ils soient
- La question de la durée des œuvres et le rapport à la nouveauté qui est une question largement sociologique et transversale : « La structure de l’offre artistique est en elle-même consumériste » (« Pour une autre écologie musicale », Revue Audimat)
« Le monde culturel ne peut pas fabriquer son écologie tout seul, faire comme si les questions environnementales n’avaient jamais été traitées (et débattues) dans d’autres sphères sociales et il est important de mettre sur la table les diverses approches. » (étude « Festivals et transitions sociétales » lancé par le pôle musique des Pays de la Loire et le REEVE)
Questions des participant.es
- Question du maillage territorial : à partir d’un territoire, on réunit des personnes pour se questionner autour d’un champ de travail et de recherche
- Question de l’adaptation d’un territoire et un climat qui évoluent : enjeu de faire un zoom sur le niveau local voir supra-local, comment le secteur culturel peut s’adapter à cet environnement qui change au regard du changement climatique ?
Exemple : mettre en lien une librairie, une bibliothèque, une salle de spectacle sur un même territoire sur ce sujet afin que ces acteur.ices aillent directement parler et de manière collective à la mairie et/ou d’autres associations locales. Dans un but aussi de créer d’autres imaginaires sur la base de nouveaux récits, comme les scenario 2050 de l’Ademe. - Interrogation d’une autrice sur le maillage et l’ouverture sur d’autres secteurs : langage d’un.e porteur.euse de récit est parfois difficile à véhiculer, il est parfois nécessaire de se questionner sur la résonance de ces thématiques. Le regroupement interrégional fait porter un message plus entendable et entendu au niveau national afin de définir un plaidoyer venant des professionnel.les et des structures qui travaillent sur le sujet.
- Fresque des nouveaux récits peut être un outil pour accompagner au changement de comportements et de récits. Sur ce sujet, l'Ademe et le ShiftProject travaille directement aux côtés de scénaristes de la télévision ou du cinéma
- Question de la mobilité dans le spectacle vivant, « la mobilité est un sujet pour la culture mais la mobilité n’a pas compris que la culture était un sujet ». Le sujet des mobilités s'articule sur celles qui sont liées aux trajets domicile-travail mais pas encore sur les trajets liés aux loisirs. Pour continuer de penser en coopérations, il est nécessaire de « voir qu’il y a des personnes qui pensent comme nous dans d’autres secteurs. »
- La question de la concentration éditoriale et financiarisation dans les autres secteurs ? Tous les secteurs culturels sont touchés. Le secteur de la musique souffre d'une dimension verticale et horizontale de la concentration. Cette concentration est peut-être moins observable dans le spectacle vivant sauf certains théâtres parisiens qui sont dans des logiques d’ultraconcentration.
Références citées pendant le webinaire :
La Collaborative - Objectif 13
La Collaborative « Engagements des professionnel.les du spectacle vivant dans la transition écologique »
Divergences « Politiser le renoncement »
Rubrique Ă©cologie de Mobilis
Arviva « Transition écologique et coopération »
L'Association pour l'Ă©cologie du livre
Galilée « Les Trois Écologies »
Audimat « Pour une autre écologie musicale »
The Shift Project « Vers des économies régionales bas carbone – Expérimentation en Bretagne »
Festivals indépendants et non lucratifs « Festivals de musiques actuelles en Europe : qui possède quoi ? »
Ministère de la Culture « Pour un engagement fort des bibliothèques dans la transition écologique »
FILL - Les webinaires du programme "L'écologie du livre en régions"
Pour aller plus loin :
Boîte à outils de N2L
Espace Ressources Collectif des festivals
2024 - Le Monde diplomatique « Le livre-marchandise, un danger écologique »
2024 - Critikat « Penser un cinéma écologique »
2024 - La Scène « Rendre le spectacle durable pour rester vivant »
2023 - Slate « Des plateaux aux salles obscures, le cinéma peut-il être écolo? »