J’ai rencontré Emmanuelle Bayamack-Tam en 2017, sur le port pluvieux de Toulon. Nous participions à un salon du livre et, après l’improbable soirée d’inauguration dudit salon, je me suis dit qu’il y aurait un jour où nous pourrions nous mettre à couvert du jeu social et parler de l’écriture.
J’ai ainsi espéré que me serait donnée la possibilité de la revoir car je n’avais pas pu lui dire mon admiration pour ce qu’elle écrivait et incarnait – elle, Emmanuelle, mais aussi Rebecca, ce double qu’elle s’est inventé pour écrire des romans noirs sous couverture blanche. En 2017, elle n’avait pas encore écrit Arcadie ni Il est des hommes qui se perdront toujours.
Quand la proposition m’a été faite par le Grand R de lancer des invitations – occupation qui me réjouit plus que tout autre –, j’ai immédiatement évoqué deux noms, le sien et l’autre sien. Je suis extrêmement honoré et heureux qu’Emmanuelle ait accepté notre invitation, tout autant que de passer ces quelques jours avec elle et vous à La Roche. J’ai mille questions par seconde à lui poser et, je vous préviens, je ne promets pas de vous céder le micro. »
Guillaume Poix
Résidence Emmanuelle Bayamack-Tam du 25 au 30 jan.
Ça tient dans la poche
Cosmos, Witold Gombrowicz
Avec Emmanuelle Bayamack-Tam
Mer. 26 jan. | 19h
Chez l’habitant
Gratuit, réservation obligatoire
Atelier Deux jours pour écrire
Avec Emmanuelle Bayamack-Tam
Vers où nous mènent les mots d’un autre ?
Sam. 29 et dim. 30 jan.